African Company est le futur projet économique de l’African Club. Ce projet a été contesté par l’avocat Mohamed Ayman Shabak, membre du Comité juridique du Club africain.
Dans une vidéo publiée sur sa page Facebook officielle il y a deux jours, M. Shabak a donné une brève idée de cet important projet. En cas de succès, ce projet sera la plus grande garantie de la durabilité et de l’avenir du club africain.
C’est en s’appuyant sur les ressources propres du club comme d’autres plus grands clubs du monde. Pour qu’il ne soit pas toujours à la merci de tel ou tel. Une fois l’indépendance financière du club africain atteinte, ce sera un retour à l’origine, pour être comme nous l’avons été, le club que tout le monde réclame, sans exception.
Dans sa vidéo, M. Mohamed Ayman Shabak a expliqué que ce projet économique, qui est exploité par un comité intégré depuis plus d’un an.
Shabak a noté que le projet faisait l’objet d’une campagne de diffamation et de questionnement. Cela a coïncidé avec la tache des fans du club africain, qui ont été autorisés à participer à la Coupe de la CAF.
Il a déclaré que la campagne n’était « pas innocente » et que son but était d’essayer de contrecarrer le projet, car ce groupe n’a pas réussi. Le club africain reste également la vache laiteuse qui produit du lait tous les jours, mais personne ne lui donne à manger.
M. Shabak a confirmé que 98% du projet appartient à l’Association des clubs africains, tandis que le président du club et l’écrivain général en possèdent 2%, soit 1% chacun. Ceci est conforme à la loi fondamentale du projet de la Société africaine.
Le Président de l’Association est le représentant légal du club, l’agent de la société, son représentant légal, et non son propriétaire. Mais il n’a qu’une participation de 1%. C’est actuellement le cas de Youssef Alami.
Lorsque le président de l’Association des clubs africains est changé par un nouveau président après la session des élections générales, le nouveau président devient le représentant légal du projet de la Société africaine, propriétaire d’une part de 1%, avec le secrétaire général, bien sûr.
Toutes les données précises sur cet important projet seront clarifiées lors de la séance plénière d’évaluation.